LArabie saoudite a délivré ses premiers visas touristiques en 2019, et a annoncé vouloir attirer 30 millions de touristes chaque année d’ici 2030. Le développement du tourisme est un des
Artde vivre. Art de vivre Recettes de cuisine le 02/09/2021 à 18:22; Modifié le 02/09/2021 à 18:45; Lecture en 2 min. Arabie saoudite : les ONG alertent sur le sort
Eneffet, en plus de Casablanca, Flynas propose également des vols directs, toutes les semaines, vers Marseille, Alger, et l’ancienne capitale du Kazakhstan Almaty.
Lesinconvénients de vivre à Arabie Saoudite. 🗺️Guide de Voyage à Arabie Saoudite. 👞Prix des chaussures et des vêtements à Arabie Saoudite. 📡Prix des Services à Arabie
LArabie saoudite, resté fermée depuis des décennies, a commencé à accorder des visas électroniques aux citoyens de 49 pays en septembre 2019 et cherche à développer ses secteurs
Oui Monsieur, l’immigration, c’est ça. Sur 1000, vous en comptez 10 d’à peu près bons. Sur ces 10 vous en avez 5 sur qui vous avez un doute.
Désormais en Arabie Saoudite, les femmes non mariées peuvent vivre où elles le souhaitent, sans avoir à solliciter l’accord d’un homme au préalable.
Connaîtrele contexte pour partir vivre en Arabie saoudite. Avant d’envisager de vivre en Arabie Saoudite, il faut savoir que la chute du baril du pétrole a eu un impact sur l’économie du pays puisque les recettes pétrolières représentent plus de 90 % des revenus de l’Etat.. Pour financer son budget, le pays a donc baissé ses subventions, en particulier
MirrorLine : un projet d’immeuble de 120 km en Arabie Saoudite. 5 millions d’habitants, 490 mètres de haut, 120 kilomètres de long et un train à grande vitesse pour aller en 20 minutes d’un bout à l’autre de cette ville linéaire. Le 26/07/2022 par Florence Santrot. 5 millions de voisins, ça vous tente ?
31août 2021 . John Boye, le défenseur de Metz, a officiellement quitté le club pour s'engager du côté de l'Arabie Saoudite. Le défenseur central du FC Metz John Boye ne va pas disputer la saison en Moselle. John Boye file en effet vivre un nouveau challenge du côté de l'Arabie Saoudite, comme annoncé ce mardi soir. @ – mardi 31 août 2021.
sXVAAYH. L’Arabie Saoudite a récemment levé l’interdiction de fêter le nouvel an et aujourd’hui il est également possible de fêter la Saint-valentin. Ça nous donnerait presque envie de sabrer le champagne mais comme la lapidation est toujours en vigueur en fait non. Selon l’indice de démocratie du journal The Economist, ça reste le 7e régime le plus autoritaire sur 167 pays évalués. Il y a tellement de trucs interdits là -bas qu’à côté la Chine c’est Disneyland, la Russie l’île aux enfants et Vladimir Poutine Casimir. 1. La mixité dans les transports en commun et les restaurants Tout comme dans certains lieux publics à l’instar des parcs ou des plages qui sont accessibles qu’à des heures différentes selon le sexe. Pas très pratique pour faire des promenades en amoureux l’été en partageant une glace au soleil tout en se faisant bronzer mais comme on n’a pas le droit non plus, ça va. 2. Les partis politiques Pas besoin de partis politiques quand on est une monarchie absolue. La loi fondamentale de l’Arabie saoudite définit le Coran comme constitution du pays. Ça veut dire pas d’élections nationales, pas de vote, pas de débats télévisés avec des punchlines de Poutou sur l’immunité ouvrière. Les familles Saoud et Wahhab règnent en maître sur les saoudiens. 3. Critiquer publiquement le gouvernement, l'islam ou la famille royale La liberté d’expression n’est pas un concept très populaire parmi les pays du Golf et encore moins en Arabie Saoudite. Et c’est vrai que c’est chiant la liberté d’expression parce qu’après les gens peuvent contester le pouvoir en place, le remettre en question ce qui est pénible car après le pouvoir doit répondre et se justifier. Or, à quoi ça sert d’ouvrir un débat quand on est sur de détenir la vérité ? Et bah à rien. 4. Les manifestations publiques Avant 2011 elles étaient autorisées mais suite aux protestations lors du printemps arabe le gouvernement les a interdites. Ils ont pas vraiment l’esprit syndicaliste, ni l’esprit moustache et ni l’esprit merguez. 5. La liberté religieuse Aucune religion autre que l’islam n’a le droit d’être pratiquée. Il n’existe aucune église, encore moins de synagogue et les autres lieux de culte non musulman sont interdits. Tout ce qui est athéisme, agnosticisme ou autre religion c’est no way. Même la religion de ceux qui adorent Maradona les maradoniens c’est pas possible. 6. Voyager, étudier à l'université ou travailler quand on est une femme sans demander l'autorisation de son "gardien" de sexe masculin évidemment Globalement il y a beaucoup d’interdits pour les femmes en Arabie Saoudite et peu d’alternatives sympatoches. Elles n’ont pas le même statut que les hommes mais celui d’un mineur. C’est-à -dire qu’elles doivent demander l’autorisation à leur geôlier gardien » pour à peu près tout et n’importe quoi, comme un enfant. C’est seulement depuis juin 2018 qu’elles ont l’autorisation de conduire mais leur permis coûte 6 fois plus cher que celui d’un homme, faut pas déconner non plus. 8. Écouter des CD ou regarder des clips de certains groupes occidentaux Il existe un pays sur terre où Beyonce n’est pas considéré comme une déesse absolue et c’est celui-là . Ici les musiques occidentales sont considérées comme décadentes, tout comme certaines danses et je parle même pas des challenges sur Tik-Tok. En août 2017 un jeune de 14 ans a été arrêté pour avoir dansé la Macarena sur une route, pareil pour un rappeur qui avait fait un dab en concert. S’ils vivaient en Arabie Saoudite, McFly et Carlito serait pas bien à l’heure qu’ils est. 9. Porter autre chose qu'une abaya noire pour une femme Il s’agirait surtout pas de porter un jean ou de lâcher ses cheveux parce qu’on sait bien ce qu’il se passe dans ces cas-là la révolte, l’émeute, le chaos. Ah bah non en fait il se passe rien. Mais c’est vrai que rien c’est dangereux aussi. 10. L'homosexualité Les droits des personnes LGBT ne sont pas reconnus. L’homosexualité ou le travestissement sont vus comme des actes immoraux, et traités comme des crimes graves. Les amendes peuvent aller de la flagellation, à la prison à vie ou jusqu’à la peine de mort. Oui, c’est terrifiant.
Elle est située à environ mètres d’altitude, les températures y sont attrayantes, la pluie et les vents rafraîchissants. Al-Namas ou la ville du brouillard » est une échappatoire pour de nombreux Saoudiens fuyant les chaleurs suffocantes de l’été. Assis avec ses amis sur des tapis dans un parc, sous la pluie et un épais brouillard, Abdallah Al-Enizi porte un gilet sur sa robe blanche traditionnelle au milieu des montagnes d’Al-Namas, ville du sud du royaume désertique du Golfe. Rania SANJAR / AFP Les températures sont très élevées l’été dans la majorité des villes saoudiennes, atteignant parfois les 50°C. Mais pas à Al-Namas. Là , les moussons humides font chuter les températures qui ne dépassent pas les 30 degrés et peuvent descendre jusqu’à 15 la nuit. Et le brouillard cache le soleil avec un paysage montagneux et verdoyant. A Ryad, il fait 46 degrés et ici seulement 20, la différence est de 26 degrés! », lance Abdallah Al-Enizi, venu avec ses amis à Al-Namas, à 850 au sud-ouest de la capitale saoudienne, pour passer des vacances. On fuit la chaleur. Ici, il fait frais et la pluie et le brouillard sont presque permanents », se réjouit ce Saoudien de 45 ans en pré-retraite, qui a mis environ 12 heures pour arriver en voiture dans la ville du brouillard ». Autour de lui et de ses amis, des familles profitent de l’air frais et les enfants jouent alors qu’ailleurs dans le pays, ils doivent rester confinés dans les intérieurs climatisés. Affaires d’hiver Avant de venir ici, on prépare toutes nos affaires d’hiver ! », s’amuse Nouf, une mère de famille qui a refusé de donner son nom de famille, pendant qu’elle ferme consciencieusement le manteau de sa fille. Pour les vacanciers, les autorités ont construit un chemin du brouillard », un passage spécial pour les randonneurs et les vélos sur un haut sommet avec vue sur les montagnes et l’épais brouillard. Khalaf Al-Jouheiri est venu avec sa femme et ses enfants depuis Tabouk nord pour profiter du temps frais ». Ce temps nous manque alors que la température dépasse les 40°C en été » à Tabouk, explique ce fonctionnaire de 33 ans, se couvrant la tête pour éviter la pluie. En 2020, une étude publiée dans la revue Science Advances a révélé que la région du Golfe a le climat le plus chaud et le plus humide de la planète. Avec le changement climatique, certaines villes de la région pourraient devenir invivables une partie de l’année, estiment des experts. Grâce à son altitude et les vents forts qui rafraîchissent l’air », Al-Namas échappe encore à ce réchauffement extrême, explique Hassan Abdallah, responsable du centre WASM, basé en Jordanie et spécialisé dans les phénomènes météorologiques au Moyen-Orient. Visit Saudi » La ville d’Al-Namas est devenue une destination prisée, au moment où les autorités cherchent à encourager le tourisme intérieur, les Saoudiens se réfugiant généralement en Europe ou dans d’autres pays moins chauds du Moyen-Orient. Sous la houlette du prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto du royaume, l’Arabie saoudite cherche à diversifier une économie trop dépendante du pétrole et a lancé la campagne Visit Saudi » pour développer le tourisme, y compris intérieur. Avec le Covid-19 et la hausse des prix du transport aérien, les familles saoudiennes ont dépensé en 2021 80 milliards de riyals environ 21 milliards d’euros pour voyager à l’intérieur du pays, soit une augmentation de 30% par rapport à 2019, selon les chiffres du ministère du Tourisme. L’été est le pic de la saison touristique allant de mai à octobre », indique Abdallah Al-Chehri, propriétaire d’un hôtel à Al-Namas, où l’hiver est très rude, les températures y chutant parfois jusqu’à 0°C. Saleh ALJUBAIRI / AFP En haut d’une colline qui surplombe le brouillard et une vallée verdoyante, le retraité Mchabab Al-Omari se réjouit de la vue, assis à côté de sa femme contre un gros 4×4 américain. Je suis ici depuis près de trois mois, et je suis prêt à rester quatre ou cinq mois de plus si le temps reste le même. »
Depuis cinq mois, 56 000 salariés n'ont pas été payés. Le cas est peu courant en Arabie saoudite. Mais la situation financière de Saudi Oger, pourtant longtemps l'un des fleurons du BTP dans le royaume, juste derrière le Saudi Binladen Group, ne lui permet plus de régler ses nombreuses dettes. Parmi les salariés, 250 familles d'expatriés français se retrouvent dans une situation extrêmement préoccupante, à la fois, pour certains, dans l'impossibilité de quitter le pays, car privés de visa, et aussi privés de source de revenus. Plusieurs sous-traitants français sont aussi concernés, avec des factures pour des chantiers terminés qui sont parfois en souffrance depuis plusieurs de ressources et sans permis de travailLa faute, de la bouche des employés, à une mauvaise gestion de l'actuel dirigeant de l'entreprise, Saad Hariri, le fils de l'homme d'affaires Rafic Hariri. Celui-ci, très proche de la famille royale saoudienne et, avait fondé le groupe il y a trente-huit ans. Son assassinat en 2005 a poussé son fils à reprendre les rênes du groupe au pied levé. Depuis, rien ne va plus. Ainsi, la King Abdullah Road, l'une des plus importantes avenues de Riyad, et l'université de la Princesse-Noura, deux projets phares du pays, ont été livrés avec trois ans de retard », indique Robert*, un ancien chef de chantier. Pour éviter la faillite, le roi Abdallah bin Abdel Aziz aurait injecté 2 Mds$ 1,82 Md€ dans la société... Il était temps que tout cela se sache, lance Patrick*, 47 ans, qui travaille encore pour Saudi Oger. La crise couvait depuis cinq ou six ans. Mais personne n'osait en parler, de peur, sans doute, de perdre son emploi ou de se faire expulser. » Depuis deux semaines, les langues se délient. Ce n'est plus tenable pour moi et ma famille, reprend Patrick. Il faut savoir que l'entreprise payait tout, le loyer, l'école, la crèche... Là , nous n'avons plus rien pour vivre. » Avec sa famille, il a décidé de rentrer en France dès le mois prochain, après plus de vingt ans passés en Arabie 43 ans, est mère de quatre enfants. Son mari, François, 48 ans, travaille chez Saudi Oger depuis douze ans. Notre compte bancaire est bloqué, explique-t-elle. Nous ne pouvons plus retirer d'argent. Le réfrigérateur est vide. Les dettes s'accumulent. Impossible désormais d'assurer le crédit pour notre maison en France. » Le couple qui s'est vu retirer son iqama, le permis de travail accordé par les autorités saoudiennes tient grâce à la solidarité organisée autour d'eux dans le compound résidence pour expatriés où ils de France à Riyad, Bertrand Besancenot, a réagi fin novembre en adressant deux lettres à Saad Hariri. Celui-ci a répondu le 17 février, pour informer qu'un premier salaire avait été versé aux employés, correspondant au mois de septembre 2015. Dès ce mois de février, précise le courrier, dont notre journal a obtenu une copie, les salaires seront versés dans les premiers jours du mois suivant et le règlement des arriérés sera échelonné sur le trimestre à venir. » Les 250 familles et les sous-traitants français, qui ne souhaitent pas s'exprimer, sont désormais suspendus à ces versements.
vivre en arabie saoudite en 2021