Postépar Sènan Justin le 17/12/2021 à 07:23:17 . Je veux le pdf du livre serment d'abstinence. Posté par frejus le 27/12/2021 à 17:15:03 . J'aime ce livre je vous aime Abdel. Posté par Shoulamith le 05/01/2022 à 10:19:55 . Oui. Posté par Fortuné le 06/01/2022 à 18:58:07 . Je veux le film. Posté par Enock le 13/01/2022 à 19:50:28
Thème: Le serment des catacombes de Odile Weulersse. a quel époque se passe le livre ? Question 1/6. dans l'empire romain au 2e siecle. au moyen age au 12e siecle. de nos jour au 21e siecle. dans la préhistoire au -11554e siecle.
Éditeur: Hachette Genre : Roman historique Nombre de pages : 288 RÉSUMÉ Collection : Le Livre de Poche Jeunesse Niveau conseillé : 6ème / 5ème Difficulté de lecture : 3 LE SERMENT DES CATACOMBES Odile Weulersse Illustrations de Yves Beaujard (Couverture de Isabelle Dethan) Ch. 1. Au IIème siècle ap. J.-C., la jeune orpheline Toutilla est recueillie à Lugdunum par son oncle
Leserment des catacombesEn 177, pendant le règne de Marc Aurèle, une jeune fille de quinze ans arrive à Lyon. . Trëmma est en ligne ! Donnez vos premiers objets ici en quelques clics [en savoir +]
Leserment des catacombes Odile Weulersse. Résumé : A quinze ans, Toutilla risque chaque jour sa vie pour ses amis car, comme elle, ils sont chrétiens. Les Romains ont en horreur ces «impies» qu'ils accusent de tous les crimes. Condamnés, torturés,
RésuméEn 177, pendant le règne de Marc Aurèle, une jeune fille de quinze ans arrive à Lyon. C'est le début de la persécution contre les chrétiens : les Romains ont en horreur ces « impies
Del'empereur Constantin au pape Damase (306-384) C'est avec la « paix de l'Église », la reconnaissance officielle du christianisme par l'empereur Constantin et la conversion en masse des habitants de la ville que les catacombes chrétiennes vont connaître un développement étonnant. Avec la paix de l'Église s'est également développé le culte des martyrs, lié surtout aux
LeChapitre 995 s'intitule Le serment de la femme ninja. Vignette sur demande : "Luffy essaie d'étudier mais se lasse aussitôt" (Maman marcheuse, de Setagaya) Le chapitre commence sur un combat entre Marco et Big Mom. L'impératrice parvient à attraper Marco et demande à Perospero de lui tirer dessus mais celui-ci se fait soudainement lacérer le visage par Wanda et Carrot en
LeSerment des catacombes. ISBN 13 : 9782013218849. Le Serment des catacombes. Weulersse, Odile. Note moyenne 3,48 • (85 avis fournis par Goodreads) Couverture souple ISBN 10 : 2013218842 ISBN 13 : 9782013218849. Editeur : Livre de Poche Jeunesse, 2001. L'édition de cet ISBN n'est malheureusement plus disponible.
LeSerment des limbes. Jean-Christophe Grangé (Auteur) Paru en février 2009 Roman (Poche) en français. 4,5. 44 avis - 44 sur les autres formats. Format : Poche.
WZT6Z. Parce qu'ils sont chrétiens, Touitilla et ses amis risquent chaque jour leur vie et doivent se méfier des romains qui les rendent responsables des pires... Lire la suite 5,50 € Neuf Poche Actuellement indisponible 5,50 € Ebook Téléchargement immédiat 5,49 € Grand format Actuellement indisponible 5,90 € Actuellement indisponible Parce qu'ils sont chrétiens, Touitilla et ses amis risquent chaque jour leur vie et doivent se méfier des romains qui les rendent responsables des pires crimes. Touitilla peut-elle faire confiance à son amoureux, le champion de course de char ? Un beau roman d'aventure au cœur de l'Empire Romain du IIe siècle après Jésus-Christ. Date de parution 29/08/2001 Editeur Collection ISBN 2-01-321884-2 EAN 9782013218849 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 282 pages Poids Kg Dimensions 12,5 cm × 17,8 cm × 1,3 cm
RETOUR LIEUX DE SÉPULTURESRETOUR LIEUX DE SÉPULTURES CIMETIÈRE DES INNOCENTS ou DES SAINTS-INNOCENTS Paris disparu Il y a beaucoup à raconter sur le plus célèbre des anciens cimetières de Paris. Faut-il encore pouvoir apporter des informations ou des compléments insolites, voire ignorés, à ce que l'on sait déjà, ce qui est aussi le but de ce site. Pour ma part, je ne vois pas quelle nouveauté je peux apporter à l’article, publié par Philippe Landru, déjà très complet sur l'histoire et le descriptif de ce cimetière Le cimetière en 1550 par Fedor Hoffbauer 1832-1929 Le cimetière était divisé en deux parties le cimetière proprement dit 1, et le parterre 2. Ce dernier était une bande de terrain parallèle à la rue de la Lingerie, le long du charnier dit des Ecrivains 3, datant de 1399. On y enterrait notamment les morts de l’Hôtel Dieu et, dans des fosses non bénites, les personnes décédées accidentellement sur la voie publique, les noyés retirés de la Seine, ou celles de la morgue du Châtelet, etc. Ce parterre était amputé par trois chapelles, avec autel, accolées au charnier des Ecrivains et appartenant à trois grandes familles les Pommereux 4, les Neufville-Villeroy 5 et les Orgemont 6 Un simple fossé, ligne de partage sur la plan, marquait la limite entre le parterre et le cimetière proprement dit. Là, se situaient des sépultures individuelles, quelques monuments, une quinzaine de croix et surtout les fosses communes, dites fosses des pauvres, qui s’étendaient sur la plus grande partie du cimetière. Sur les milliers d’épitaphes qui ont existé éparpillées entre les charniers, le cimetière, le parterre, sur les divers monuments existants, dont les façades des chapelles, etc., 518 sont parvenues jusqu’à nous. La grande majorité des personnes qui sont ainsi connues étaient des bourgeois marchands de Paris » représentés par beaucoup de marchands drapiers, mais aussi des métiers du textile et de l’habillement dont l’appellation s’évoque avec saveur chaussetiers, pourpointiers, aiguilletiers,… La pose d’une épitaphe était assujettie à l’autorisation du chapitre de Saint-Germain-l’Auxerrois. Contrevenir à cette règle s’était s’exposer à la destruction la dite épitaphe. A défaut, cet article vise à développer le sujet des inhumations et à compléter de façon notoire la liste des personnalités qui y furent inhumées. Plus conséquente qu’on ne peut le penser, un examen encore plus exhaustif pourrait rallonger celle qui suit par la au 10ème siècle, voire au 9ème, il fut d’abord destiné à recevoir les corps des paroissiens de l’église Saint-Germain-l’Auxerrois. Dans les faits, plus de trente paroisses et communautés l’utilisèrent. Que cela soit sur la rive droite, la rive gauche, ou l’île de la Cité, d’une façon générale, toutes les églises qui ne possédaient pas de cimetière pouvaient inhumer aux Innocents, sans oublier l’Hôtel est impossible de connaître le chiffre précis des inhumations. On ne peut qu’avancer des estimations qui avoisinent un peu plus de 2 million de personnes. Epitaphe d’Antoine Grenier † 1521 marchand. Original musée de Cluny. © RMN-Grand Palais musée de Cluny - musée national du Moyen-Âge / Franck Raux Nicolas Bourgeois †1529, marchand pelletier, et de sa femme Original musée de Cluny. © RMN-Grand Palais musée de Cluny - musée national du Moyen-Âge / Jean-Gilles Berizzi Bien d’autres métiers y étaient également bien représentés l’alimentation, l’apothicairerie, la médecine, le bâtiment, ne saurait oublier du personnel au service du roi ou à celui de la Ville, des membres du Parlement, du Châtelet avocats, greffiers criminels, notaires,... La finance, la Chambre des Comptes, la cour des Monnaies, etc., y étaient également très présentes, et même la Chancellerie avec un chancelier de la reine Mère et des chauffe-cire dont la fonction était d’apposer les sceaux du roi. Et puis, des artistes. Epitaphe de Simon Le Tur †1449, président au parlement et de sa femme, Marie Boucher. Au dessus, est figurée une Vierge à l’Enfant, assise, avec, à gauche, à genoux et priant, Simon et deux de ses filles présentées par saint Simon, et à droite, sa femme et ses fils et une fille. Col. Gaignières © MCP Par humilité, de bons serviteurs de l’église, comme des marguilliers et des prêtres, sollicitèrent la grâce d’y reposer, ainsi que des seigneurs qui, pour les mêmes motivations que les précédents, exprimèrent un vœu identique. C’est ainsi que Jean de France, duc de Berry, songea un temps à élire l’église des Saints-Innocents pour sa inhumations de ces personnes étaient en principe soumises à l’autorisation du chapitre de Saint-Germain-l’Auxerrois. Le cimetière au 16ème siècle Exemples d'ornements sur les tombes par Charles-Louis Bernier BnF/Gallica Les premiers ossements déposés aux Catacombes en 1786 © MCP Après l’incident de 1780, qui vit l’éboulement d’une fosse dans les caves d’une maison de la rue de la Lingerie les remplissant de cadavres, le projet de fermeture, déjà prévu mais non effectif, fut enfin adopté et réalisé. La première opération de vidage » et de transfert d’ossements vers les Catacombes, créées pour l’occasion, eut lieu en 1786. Mais l’importance des corps, empilés dans des fosses communes depuis plus de neuf siècles, était telle que cela ne fut pas suffisant pour en évacuer le contenu de façon exhaustive. Au fur et à mesure des travaux d’aménagement du terrain d’énormes quantités d’ossements furent encore découvertes. Pas moins de dix nouvelles étapes de nettoyage », s’étalant dans le temps, furent encore nécessaires 1787, 1808,1809, 1811, 1842,1844, 1846, 1850, 1860 et 1925. Malgré cela, on ne peut exclure qu’il en reste toujours sous la chaussée de quelques rues comme celle des Innocents Y furent inhumés, entre autres... ► ALIX LA BOURGOTTE 1466 ?Près de l’église, il existait un édicule destiné aux recluses déjà présent en 1408 puisqu’on en retrouve trace dans les 1442, on demanda humblement » au chapitre de Saint-Germain-l’Auxerrois la permission d’édifier une petite maison, un reclusoir, près de l’église du cimetière là où il y un jardin pour que Jeannette la Verrière Voirière puisse y habiter, y prier, et parvenir à une vie meilleure ». En fait de petite maison », il s’agissait d’une loge minuscule avec juste une petite ouverture permettant d’écouter les offices et de recevoir la nourriture. Cette permission ayant été accordée, Jeannette s’installa dans sa vie de recluse. Elle fut remplacée par Alix la Bourgotte, la plus connue des recluses. Religieuse, après un an d’essai, elle s’était faite murée solennellement. A sa mort, elle fut inhumée dans la chapelle Notre-Dame de l’église des Saints- Innocents du cimetière. Emerveillé par sa constance, Louis XI lui fit ériger un magnifique tombeau en marbre que soutenaient quatre lions en bronze, avec sa statue, en bronze, la représentant couchée tenant un livre ouvert. Par la suite, sa statue fut adossée à un pilier avant de trouver place, en 1787, dans l’hôpital Sainte-Catherine. D’après son épitaphe, elle vécut récluse pendant quarante-six ans, ce qui signifierait qu’elle y aurait précédé Jeannette La Verrière et s’y serait trouvée en même temps qu’elle. Or, la chose est impossible. Comme souvent, l’erreur -soit sur sa date de décès soit sur son nombre d'années de reclusage- provient probablement de l’épitaphe qui est peut-être apocryphe. Sources principales - Epitaphier du vieux Paris – Tome VI- Les 200 cimetières du vieux Paris par Jacques Hillairet -Ed. de Minuit 1958- Le cardinal de Dormans, chancelier de France, principal conseiller » de Charles V, d'après son testament et les archives du Vatican par L. Carolus Barré -Mélanges d'archéologie et d'histoire Numéro 1 Volume 52 1935 pp. 314-365 Bernard de Dormans p. 330- Une famille d’artistes, les Dumont 1660-1884par G. Vattier 1890- Généalogie Pomereu Généalogie Brulart Généalogie Maupeou En ce lieu gist sœur Aliz la Bourgotte,A son vivant recluse très à Dieu femme de bonne vieEn cet hostel voulut être asservie,Où a régné humblement [un] long temps Et demeuré bien quarante-six ansEn servant Dieu augmentée en roi Loys, onziesme sic de ce nom,Considérant sa très grande parfecture A faict lever icy sa trespassa céans en son séjour,Le dimanche vingt neuviesme jour,Mois de juin, mil quatre cent soixante et six Le doux Jésus la mette en ! Epitaphe d'Alix la Bourgotte ► BAILLY Yolande † 1514Femme d’un procureur du Châtelet, elle ne vaut d’être citée qu’à cause de son épitaphe qui lui attribuait, au moment de sa mort, 295 enfants issus de sa lignée a trépassé l’an 1514, le 88e de son âge, le 42e de son veuvage, et a vu ou a pu voir devant son trépas 295 enfants issus d’elle ».Voilà qui laisse songeur...► BRULART famille Grande famille de magistrats dont le plus célèbre fut probablement Nicolas Brulart de Sillery, garde des Sceaux d’Henri IV. Les épitaphes se trouvaient contre la chapelle de Neufville. - Jean Brulart † 1519, conseiller au parlement de Paris et Prévôt des Marchands de Paris. Sa première femme, Jeanne Jayer † 1505. - Pierre II Brulart † 1541, fils aîné de Jean, conseiller du Roi au Parlement et Président aux requêtes. Sa femme, Ambroise Regnault † 1551. Ils étaient les grands-parents du fameux Nicolas de Sillery. - Nicolas Brulart † 1561, quatrième fils de Jean, et chantre de l’église Saint-Honoré.► BUREAU famille 7 sur le planPlusieurs membres de la famille de Jean Bureau, grand maître de l’artillerie de Charles VII, furent ensevelis sous la croix que le chapitre de Saint-Germain-l’Auxerrois lui avait autorisé à ériger en 1451 ses parents, Simon et Hélène Bureau, bourgeois de Paris, et sa femme, Jeanne Hesselin y furent inhumés. Epitaphe sur plaque de cuivre. En regardant de très près, on devine des sculptures sur la base de la croix. ► CHABANCEAU DE LA BARRE Pierre Ier † 1600 8 sur le planOrganiste à Notre-Dame de Paris et à Saint-Eustache, il donna naissance à une dynastie de musiciens de talent dont le représentant le plus célèbre fut Pierre II ou III Chabanceau de la Barre 1592-1656. Comme compositeur, il fut considéré, de son vivant, comme l'égal de Titelouze Malheureusement, aucune partition d'orgue de sa main ne nous est parvenue. Il fut inhumé près de la croix de Gastine contre laquelle était appuyée son épitaphe garnie d’un petit bénitier. Epitaphe de Jeanne Bureau dont l’année de décès est peut-être erronéeEpitaphier du vieux Paris © MCP ► CHEVRIÈRES Melchior Mitte de 1586 – 1649 Marquis de Saint-Chamond et de Montpezat, comte de Miolans et d'Anjou, premier baron de Lyonnais et de Savoie, baron de Jarcieu, il est également connu sous les noms de Melchior Mitte, Melchior Mitte de Miolans, Melchior Mitte de Mons, Monsieur de Saint-Chaumont ou bien Marquis de Saint-Chaumond. De cette identité complexe, on retiendra surtout que, militaire, il prit part de façon efficace aux sièges de Saint-Jean-d'Angély 1621, de Montpellier 1622, de la Rochelle 1628 et de Nancy comme lieutenant général du roi 1633, après l’avoir été du Lyonnais et de Provence. Manifestement doté de talents diplomatiques, il fut missionné à diverses reprises comme ambassadeur ordinaire et extraordinaire sous Louis XIII -notamment lors de la succession de Mantoue 1627 pour s’assurer de son bon déroulement- mais également sous Louis XIV. Esaü cédant à Jacob son droit d'aînesse pour un plat de lentilles 1630 Orléans, musée des Beaux-Arts Saint-Paul et Saint-Barnabé refusant de se laisser adorer à Lystre © RMN-Grand Palais musée du Louvre / Philippe Fuzeau Philippe de France, duc d'Orléans et frère de Louis XIV, portant une armure à fleur-de-lys -Château de Versailles ► DORMANS Bernard de † 1381Neveu du chancelier Guillaume de Dormans, voué à l’état ecclésiastique comme ses frères, il embrassa finalement une autre carrière. En 1370, on le trouve écuyer d’honneur de Louis, duc d’Anjou Louis Ier de Naples, chevalier au service duquel il était encore en 1377 comme son chambellan, qualifié chevalier et seigneur de Dormans. Il participa à une expédition en Prusse. Mort jeune, il avait demandé à être enterré avec les povres au cimetière Sainct-Innocents à Paris ». - DORMANS Colombe 1478/1479Veuve de Regnault de Dormans 1472, elle avait souhaité reposer dans la fosse aux pauvres ». - DORMANS Guillaume de 1507, fils de Regnault et de Colombe de Dormans, il fut avocat au Parlement, chancelier de Normandie, de Dauphiné puis de France.► DUBREUIL Toussaint 1558/1561-1602Considéré comme l’un des promoteurs de la seconde école de Fontainebleau, il fut surtout le peintre d’Henri IV dont il signa des portrait, notamment Henri IV en Hercule terrassant l'hydre de Lerne, et pour lequel il réalisa de vastes campagnes de décors aux châteaux de -Fontainebleau dans le pavillon des poêles scènes de l'histoire d'Hercule, tel Le jeune Hercule apprenant à tirer à l'arc et la galerie des cerfs ; -de Saint-Germain-en-Laye Le Cycle de la Franciade, tiré de La Franciade de Ronsard, qui se composait d soixante-dix-huit tableaux dont quelques rares toiles nous sont parvenues, comme Hyanthe et Climène à leur toilette ou Cybèle éveillant la petite galerie du Louvre portraits des prédécesseurs d'Henri IV et plafonds ornés de sujets la quasi-totalité de ces décors ont de nombreux cartons de tapisserie, il avait aussi reçu une formation d’orfèvre. Néanmoins, ce fut à ses talents reconnus de dessinateur qu’Henri III fit appel pour réaliser les compositions en bas-relief d'orfèvrerie ornant les quatre faces de la masse de l'Ordre du Saint-Esprit créé en1578 Le Serment d'un nouveau chevalier lors de sa réception, la Procession de l'Ordre vers l'église des Grands Augustins, La communion des chevaliers lors de la messe, et le Banquet de l'Ordre du Saint-Esprit. Sa mort prématurée interrompit brutalement sa brillante carrière. Henri IV en Hercule terrassant l'hydre de Lerne v. 1600 Musée du Louvre Hyanthe et Climène à leur toilette –Musée du Louvre © Peter Willi/ The Bridgeman Art Library/ Getty Masse de l'ordre du Saint-Esprit -Musée du Louvre © ► DUMONT Edme 1720-1775Agé de six ans à la mort accidentelle de son père, le sculpteur François Dumont 1687-1726, bien que privé de l’appui et des leçons paternelles, il développa des dispositions précoces. Adopté par l’Académie royale touchée de son malheur, il entra dans l’atelier de Bouchardon de retour en France. Nommé académicien 1768, il reproduisit en marbre le Milon de Crotone de Pierre Puget pour son morceau de réception. On lui doit, entre autres, L'Expérience et La Vigilance qui ornent le fronton de la façade qui regarde la cour de l’Hôtel de la Monnaie 1770. Alors que Louis XV lui avait commandé deux figures pour la cathédrale d’Orléans, Edme Dumont, de santé délicate, mourut la même année dans son logement du Louvre qu’il tenait de son père, et qu’il laissa à son fils, le sculpteur Jacques-Edme Dumont 1761-1844. Le Milon de Crotone par Dumont-Musée du Louvre © Marie-Lan Nguyen L'Expérience et La Vigilance à l’Hôtel de la Monnaie © MLO ► DUPUIS Pierre 1610-1682 Peintre, après un voyage en Italie où il rencontra Pierre Mignard, bien des années plus tard, il entra à l'Académie 1663 où il apprit la plupart de ses connaissances en art. Spécialisé dans la peinture des natures mortes, notamment des bouquets de fleurs, son style est marqué par les peintres de l’Europe du Nord et la rigueur de la religion protestante. Le rendu précis de ses tableaux, avec leur composition solides et sobres - presque monumentale - qui leur confère un certain mystère, en fit un artiste apprécié de son vivant et l'un des plus grands représentants de la nature morte en France du 17ème siècle. Panier de raisins vers 1650 © Musée du Louvre/A. Dequier - M. Bard ► FLAMEL Pernelle 1320-1397 9 sur le planFemme du célèbre mystérieux érudit Nicolas Flamel, elle fut inhumée dans le petit charnier, dit aussi de la chapelle de la Vierge, où son mari fit élever une arcade sculptée avec son portrait, avec des inscriptions et des symboles difficiles à interpréter, et ses initiales. En 1407, il fit élever pour la défunte une seconde arcade, toujours avec des figures symboliques, et un mausolée. L’arcade de 1407 présentée dans Le Livre des figures hiéroglyphiques 1612 d’ Arnauld de La Chevalerie ► HUILLIOT Pierre Nicolas 1674-1751Formé par son père Claude Nicolas, peintre de fleurs et de fruits, lui-même se spécialisa dans les natures mortes tout à fait caractéristiques dans l’époque baroque, notamment avec ses grands bouquets de fleurs. Fleurs et deux paons -Château de Fontainebleau © RMN-Grand Palais Gérard Blot Nature morte à la mappemonde et aux instruments de musique vers 1745 -Musées du Louvre et Versailles © Gérard Blot ► LE HONGRE Pierre-Etienne † 1682 Fils du célèbre sculpteur Etienne Le Hongre, il embrassa la même carrière que son père sans pour autant atteindre la même renommée au point que je n’ai pu trouver une seule illustration d’une de ses œuvres, avec la certitude de son auteur, tant celles de son géniteur sont présentes sur Internet. ► MASSE Samuel 1672-1753Peintre à la vie très mal renseignée, on n’en connait donc que peu de choses. Est-ce parce qu’il ne méritait pas qu’on s’intéressât à lui que les biographes le négligèrent ? Pourtant, avec son morceau de réception, Vénus demandant des armes à Vulcain pour Enée, on sait au moins qu’il fut reçu à l’Académie de peinture et de sculpture, en 1705, à une époque où celle-ci se montrait difficile sur le choix de ses membres. Masse n’était donc pas un artiste médiocre. On a la trace d’exposition de ses œuvres aux Salons de 1736, 1738 et 1750. Vénus demandant des armes à Vulcain pour Enée - Paris, Ecole nationale supérieure Beaux-arts. Loth et ses filles -Varsovie, Musée Kolekcji Jana Pawła II Jean Paul II ► MAUPEOU Gilles II de 1596 -1632Appartenant à l’illustre famille de magistrats des Maupeou, dont est notamment issu René Nicolas de Maupeou, garde des Sceaux sous louis XV, titré seigneur d’Ableiges, et de La Villeneuve-Saint-Martin, il fut avocat puis conseiller au parlement de Paris, maître des requêtes , conseiller d’Etat et Intendant de justice & police de l'Armée de près de lui sa mère, Marie Morelly † 1631, plusieurs membres de la famille de celle-ci, et sa femme, Anne de Creil † 1641. Commissaire des guerres, il se trouva en cette qualité aux deux campagnes de Flandre. Puis, il se livra à l’étude de l’histoire et travailla avec une si grande ardeur qu’il en tomba malade. Le cardinal de Richelieu s’intéressa à ce travailleur encore obscur et lui fit tenir une bourse. Après avoir publié le premier volume de son Histoire de France 1643, il entra à l’Académie française 1648. Durant la Fronde, cet ennemi de toute étiquette, écrivit des pamphlets contre Mazarin les fameuses mazarinades, parues sous le pseudonyme de Saudricourt, lui sont attribuées. Il fut néanmoins nommé historiographe du Colbert, n’appréciant guère la liberté de ton avec lequel il parlait des finances, des impôts et des traitants dans son Abrégé chronologique, lui supprima sa pension. Il eut beau supplier et promettre toutes les modifications de son texte, Colbert ne céda pas. ► MEZERAY François Eudes de 1610 - 1683 Chapelle des Neufville-Villeroy d’après les Statistiques monumentales d’Alexandre Lenoir. ► ORGEMONT famille d’ 6 sur le planLa plus grande des trois chapelles familiales situées dans le parterre se présentait comme un bâtiment considérable. Néanmoins, on s'interroge sur le fait qu’elle ait reçu, ou pas, des sépultures. En effet, en recevant plusieurs de leurs tombes, l’église Sainte-Catherine-du-Val-des-Écoliers semble avoir été un lieu privilégié d’inhumation familiale, à commencer par le plus connu » d’entre eux, Pierre II D’Orgemont. ► POMEREU ou POMMEREUX famille de 4 sur le planChapelle fondée sur le parterre par Jean II de Pomereu † 1549 en son vivant conseiller du Roy nostre Sire et Maistre ordinaire en sa Chambre des Comptes, Sieur de Chambercy, de Saint Pijat et Advoué de Chagrise […]».Avec le fondateur reposaient - Sa femme, Catherine Poncher † 1545, nièce l’évêque Etienne Poncher, archevêque de Sens et garde des Sceaux sous Louis Son arrière-arrière-petit-fils, Jacques de Pomereu 1639 qui, chevalier, seigneur de La Bretèche, Saint-Nom et Valmartin, fut secrétaire du Roi et Grand Audiencier de France et maître d’hôtel du roi Henri IV. - Son arrière-arrière-arrière-petit-fils, fils de Jacques, François de Pomereu 1661 qui, chevalier, seigneur de la Bretèche, Saint-Nom et Valmartin, fut conseiller au parlement de Paris, Commissaire aux requêtes du Palais, maître des requêtes de l’Hôtel du Roi, Président au Grand Conseil et en la Chambre de Justice de l’Arsenal, Intendant en Picardie et en Normandie, Conseiller d’Etat et maître des requêtes. Chapelle des Pomereu d’après les Statistiques monumentales d’Alexandre Lenoir . Enfin un descendant direct, Auguste-Robert de Pomereu † 1702 qui, chevalier, seigneur de La Bretèche, Saint-Nom et Valmartin, baron des Riceys Bourgogne, fut membre du Grand-Conseil, maître des requêtes Intendant du Bourbonnais, Président du Grand-Conseil, Intendant en Auvergne, à Bourges et Moulins, conseiller d’Etat, Prévôt des Marchands de Paris, Premier Intendant en Bretagne, Président en la Chambre Royale de l’Arsenal, conseiller au Conseil Royal des Finances et premier Commissaire du Roi aux Assemblées du Clergé. - Et sa femme, Agnès d’Aubin Laisné † 1727. ► POTIER DE NOVION familleSeule famille connue pour avoir sa sépulture dans l’église des Saint-Innocents, elle abritait , entre autres, les dépouilles de - Claude Potier 1638-1722, colonel du régiment de Bretagne et brigadier des armées du roi. -Nicolas Potier de Novion † 1720 Seigneur de Courances, reçu conseiller au parlement de Paris le 22 may 1715en la quatrième Chambre des Enquestes.► RICHARD DE PONTOISE ou DE PARIS saint 1179/1180Cette histoire veut qu’aux alentours de Pâques, un garçon nommé Richard, de fort bonne famille et âgé de douze ans aurait été attiré par des Juifs dans une cave où, à un rabbin l’interrogeant sur sa croyance, il fit part de sa profonde foi chrétienne. Après avoir été malmené et battu par les personnes présentes, il fut crucifié. On lui érigea un tombeau dans un cimetière appelé les Petits-Champs où de nombreux miracles eurent lieu sur la sa tombe ce qui amena les chrétiens à transférer le jeune martyr en l’église des Saints-Innocents. Il y demeura jusqu’à ce que les Anglais ne l’enlèvent pour l’honorer chez eux, ne laissant que son chef qui se voyait encore au 17ème siècle enchâssé dans un riche reliquaire. Cette histoire s’inscrit dans la séculaire et haineuse propagande antisémite des prétendument enfants martyrisés, et divers. Celle-ci fut composée par Robert Gaguin 1433/1434 –1501, général de l’ordre de la Très-Sainte-Trinité, par ailleurs grand intellectuel connu comme humaniste…Quoiqu’il en soit, dans le cimetière des Innocents, près de la croix des Guimiers -ou dans l’église ? Il y a un moment où les contradictions ou le manque de précision épuisent…- on pouvait voir une grande tombe levée, avec l’inscription suivante Icy est le tombeau de Monsieur Saint Richard, restably par Messieurs les vénérables doyen, chanoines et chapitre de Saint Germain de l’Auxerrois à Paris en l’année 1633, comme il se voit à présent escrit ».► SPIFAME Gaillard † 1534Général des finances, prévôt des marchands de 1528 à 1530, il fut embastillé pour concussions. Il se tua en tombant d’un ays pourri et corrompu ». Son corps fut jeté dans une fosse commune avec interdiction aux siens d’assister à son enterrement. Par ailleurs, ses biens lui furent confisqués. Quelques recherches m’ont amenée à trouver une autre version indiquant que Accusé d'exactions, il est finalement condamné à restituer 34 000 livres au roi, le 5 VII 1532. Poursuivi pour dettes envers François Ier, il se réfugie en Italie, où il meurt de dépit à Naples, ou se suicide. Peu après sa mort, ses biens sont saisis ». Malgré mon embarras, je maintiens les deux possibilités, sachant que la première version, émanant des 200 cimetières du vieux Paris de Jacques Hillairet, peut aussi être une erreur directe ou provenant d’une source consultée par l’auteur. ► VOUET Aubin 1595-1641Frère cadet de Simon Vouet qu’il rejoignit à Rome, il s’y émerveilla devant les œuvres du Caravage qui influencèrent son travail. Nommé peintre ordinaire de Louis XIII 1621 dès son retour à Paris, il entama une carrière officielle qui lui valut de nombreuses commandes. Se tournant vers de vastes compositions, avec la mythologie et la religion comme thèmes principaux, il reprit le style de Simon aussi bien dans le choix des coloris que dans la composition proprement dite Le Centurion Corneille aux pieds de Saint Pierre 1639 qu'il réalisa à l'occasion du May pour la cathédrale Notre-Dame de Paris. Sollicité vers 1630 pour la décoration de la nef de la chapelle des Pénitents noirs à Toulouse, il y exécuta deux immenses toiles sur la Révélation et l'adoration de la Croix Le Serpent d'airain et L'Invention de la vraie Croix , probablement terminées par l’un de ses élèves, Jean Senelle. Il travailla également dans la chapelle du Château-Vieux à Saint-Germain-en-Laye 1634. On suppose qu’il aurait été très actif dans l’atelier de Simon et qu’il participa à la réalisation de toiles de ce un indéniable talent, sa carrière et sa notoriété furent très loin d’égaler celle de son frère aîné. Le Centurion Corneille aux pieds de Saint Pierre © NDP La mort de Saphire et Ananias –Rouen, musée des Beaux Arts © FFF72 Le Serpent d’Airain- Toulouse, musée des Augustins © STC-Mairie de Toulouse En 1675, l’Académie, ayant besoin d’un homme laborieux et de bonne volonté » pour la rédaction du Dictionnaire, auquel il collabora, lui conféra l’emploi de Secrétaire perpétuel. On lui doit d’avoir eu l’idée du premier journal littéraire et scientifique, idée qui fut reprise par les fondateurs du Journal des Savants de Sallo et l’abbé Gallois en 1665. Son frère, Jean Eudes, fut béatifié en 1909, et canonisé en 1925► NEUFVILLE-VILLEROY de famille 5 sur le planOn ignore la date de fondation de cette chapelle portant le nom d’une illustre famille qui donna de nombreuses personnalités dont deux maréchaux de Legendre , seigneur de Villeroy, et d’autres terres, qui fut Trésorier des Guerres 1512. Sa femme, Françoise de Dampont † 1524.D’autres épitaphes indiquaient la présence de femmes liées à la famille par mariage. De façon récurrente, on le voit cité marquis de Saint-Chamont, ministre d’Etat » sous Louis XIII. En réalité, ce titre honorifique, donné aux personnes siégeant au conseil, ne leur conférait pas toujours de droit et n’imposait aucune obligation. Pion éphémère du jeu d’un Richelieu en fin de vie, il ne fut jamais un tenant d’importance de ce titre. ► CORNEILLE Michel, dit l’Ancien ou père – 1664Peintre, graveur, et aquafortiste, surnommé l’Ancien pour le distinguer de son fils, Michel le Jeune, il suivit l’enseignement du tyrannique et célèbre Simon Vouet. Sa première peinture connue est une toile intitulée Esaü cédant son droit d'aînesse à Jacob 1630. Consacrant son œuvre à la peinture d'histoire, il fut l'un des douze membres originels de l'Académie royale de peinture et de sculpture lors de sa création en 1648. Il en devint le recteur en 1656. Excellent coloriste, se rapprochant en cela davantage de la peinture vénitienne que celle de tradition française, il fut chargé de la décoration de plusieurs églises parisiennes dont la cathédrale Notre-Dame qui s’orna d’une de ses pièces regardée comme maîtresse, Saint-Paul et Saint-Barnabé refusant de se laisser adorer à Lystre. Ses gravures et eaux-fortes rappelaient les œuvres de peintre italiens tels sa Vierge allaitant l'Enfant Jésus inspirée de Lodovico Carracci Carrache, ou encore son Meurtre des Innocents proche de la peinture de Raphaël. On lui doit aussi quelques portraits dont celui de Philippe de France, duc d'Orléans et frère de Louis XIV, portant une armure à fleur-de-lys. Par son mariage, il était devenu le gendre du sculpteur Jacques Sarrazin. LIEUX D'INHUMATIONSEN LIGNEancien cimetière révolutionnaireancien cimetière révolutionnaire-Cimetière St-Gervais 75disparudisparuCimetière Ste-Catherine 75disparudisparue-Grottes vaticanes-Hospice des Enfants-Trouvés 75 disparu TOMBES SÉPULTURES DANS LES CIMETIÈRES ET AUTRES LIEUX par Marie-Christine Pénin Pour s'abonner à la Newsletter CLIQUER sur "Contact" en précisant bien le sujet et votre adresse LIEUX D'INHUMATIONSEN LIGNEancien cimetière révolutionnaireancien cimetière révolutionnairedisparuCimetière Ste-Catherine 75disparudisparue COPYRIGHT 2010 - 2022 - TOUS DROITS RÉSERVÉS - Ce site est propriétaire exclusif de sa structure, de son contenu textuel et des photos signées MCP. Sauf accord du propriétaire du site, toute reproduction, même partielle, à titre commercial est interdite. Les reproductions à titre privé sont soumises à l'autorisation du propriétaire du site. A défaut, le nom du site et de son auteur doivent obligatoirement être mentionnés. Tous les droits des auteurs des oeuvres protégées reproduites et communiquées sur ce site sont réservés.
Le serment des catacombes - E-book - ePub En 177, pendant le règne de Marc Aurèle, une jeune fille de quinze ans arrive à Lyon. C'est le début de la persécution contre les chrétiens les... Lire la suite 5,49 € E-book - ePub Poche Actuellement indisponible 5,50 € Ebook Téléchargement immédiat 5,49 € Grand format Actuellement indisponible 5,90 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants Téléchargement immédiat Dès validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier En 177, pendant le règne de Marc Aurèle, une jeune fille de quinze ans arrive à Lyon. C'est le début de la persécution contre les chrétiens les Romains ont en horreur ces impies » qui refusent leurs divinités et vénèrent un dieu unique. Toutilla est une de ces croyants persécutés. Son seul soutien est son amoureux, gladiateur et champion de course de chars ! Mais peut-elle lui faire confiance ? Date de parution 13/08/2007 Editeur Collection ISBN 978-2-01-323170-1 EAN 9782013231701 Format ePub Nb. de pages 288 pages Caractéristiques du format ePub Pages 288 Taille 684 Ko Protection num. Contenu protégé Imprimable Non Autorisé Copier coller Non Autorisé Biographie d'Odile Weulersse Née à Neuilly-sur-Seine en 1938, elle est à vingt ans diplômée de l'Institut des sciences politiques, puis agrégée de philosophie en 1969. Elle a longtemps enseigné l'art du scénario aux étudiants de la Sorbonne. Ecrire des romans historiques pour les enfants est pour elle une véritable passion.
le serment des catacombes résumé par chapitre